Photo: Olivier Steiner
Qui es-tu?
Je suis Clément.
Comment es-tu devenu écrivain?
Grâce à Flammarion.
Comment se déroule tes phases créatives?
Je fais le volcan effusif, puis endormi.
Tes références?
Chevillard, Toussaint, Modiano.
As-tu des rituels, des tocs, des manies?
Oui, l’écriture manuelle, matérielle.
Où trouves-tu l’inspiration?
Sur Twitter, mais aussi dans le réel.
Qu’est-ce qui te dérange?
La voix de Jean-François Copé.
A partir de quand l’écriture s’est-elle imposée?
À la majorité (absolue).
Tes projets? Tes motivations?
De l’irréversible, du signifiant.
C’est quoi le vertige?
Vouloir sauter.
Qu’est-ce qu’un moment d’égarement?
Monter dans le train d’en face.
Si la culpabilité était une forme d’art?
Kafka aurait écrit un livre intitulé Le Procès.
Le ciel est à…?
…37 degrés.
A quel moment « ça suffit »?
Quand la coupe est pleine (à moitié).
C’est quoi une belle aventure?
Un chemin de traverse.
Qu’est-ce qui brille?
Un disque d’or de Booba.
D’où vient la menace?
De l’inertie, paraît qu’elle seule est menaçante.
L’été slovène (2013), Flammarion
Lève-toi et charme (2015), Flammarion